Ces dernières semaines ID’akt a abordé la question de la conception d’espace. Nous nous sommes d’ailleurs attardés sur l’exemple d’une clinique vétérinaire. En l’occurrence il y a différents points à ne pas oublier et qui prennent en considération le point de vue des propriétaires et de leurs animaux… D’autres mettent en lumière le confort de l’équipe soignante. Aujourd’hui et peu importe votre activité, nous débattons de l’importance de modifier régulièrement la conception d’espace d’un local.
Repenser sa conception d’espace : un investissement
Id’akt bénéficie d’une expérience opérationnelle de 10 ans. En une décennie, nos équipes ont pu constater ce qui fonctionne… Et le reste ! Reprenons notre exemple de départ, à savoir la profession de vétérinaire. Il s’agit d’un créneau dans lequel notre agence a une réelle expérience. Malheureusement, en général, les vétérinaires ne voient pas le fait de repenser leur conception d’espace comme un investissement, mais comme un coût simple.
Pour rappel, un investissement est un principe d’économie. D’ailleurs les manuels du genre le définisse comme « une dépense actuelle en vue d’un bénéfice futur« . Ceci étant dit, un retour sur investissement n’est pas forcément financier. Dans le cas qui nous intéresse, il s’agit d’une valorisation du savoir-faire du vétérinaire. Qui est, ne l’oublions pas, le meilleur expert de la santé animale.
Plus largement
Mais élargissons un peu le débat. Ne restons pas cantonnés au milieu de la clinique vétérinaire. ID’akt recommande de renouveler la conception d’espace d’un local commercial tous les 5 à 7 ans. Pourquoi ? Pour donner un coup de jeune en premier lieu. Mais aussi et surtout pour susciter la curiosité, augmenter le panier moyen et donc le chiffre d’affaires. Sur ce point une étude de Lyon Shop Design est d’accord avec nous. Une nouvelle conception d’espace influence le chiffre d’affaires de 25 % à 35 % sur les 18 mois qui suivent la réouverture du magasin. Preuve que, finalement, le retour sur investissement peut aussi être financier… Et c’est tant mieux !